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I love syphilis more than you
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I love syphilis more than you
21 avril 2009

"The Path", Tale Of Tales

Six soeurs, six chaperons rouges. Toutes avec leur propre personnalité et leurs propres démons. Chacunes à leur tour, elles devront suivre le chemin qui mène à la maison de Mère-Grand pour lui apporter le fameux panier de provisions...

Mais, ici, le but du jeu est différent. En effet, si vous restez sur le chemin ("the path" : c'est le titre) et courrez chez Mamie comme une bonne petite fille... Vous perdez la partie. Le jeu commence véritablement lorsque vous choisissez de transgresser l'interdit de votre mère pour vous aventurer dans la sombre forêt.
Là, vous guiderez votre chaperon dans un parcours introspectif dont l'issue est la découverte de son loup personnel (qui n'a rien d'une bêbête à grandes dents) et, finalement... la mort. Tout un programme.

Le jeu se décline en six fois une heure, une pour chacune des six soeurs. Une fois le chaperon mort, vous accédez aux pièces que vous avez débloquées dans la maison de Mère-Grand, genres de "boîtes psychanalytiques" qui vous ouvrent un peu plus l'inconscient et l'univers de la jeune fille que vous venez de tuer.

Comme le jeu est très lent (on balade plus - lentement, très lentement - son chaperon dans le décor qu'on ne fait réellement quoi que ce soit), j'ai décidé de le jouer en six fois, une pour chacune des soeurs.

Un premier point, d'abord, sur l'ambiance générale. Les graphismes sont sommaires mais pas nécessairement répulsifs pour peu qu'on accepte d'être dans un jeu à petit budjet et pas à Sybéria. L'univers musical est intéressant, même si je crains qu'il ne devienne répétitif à la longue.
Quant au gameplay, c'est là que ça pèche un peu car les soeurs sont parfois pénibles à déplacer. On doit souvent s'y reprendre à deux fois pour contourner un obstacle ou interagir avec un élément du décor.

Pour la suite, rendez-vous donc pour la première partie, avec Carmen.

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