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I love syphilis more than you
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I love syphilis more than you
22 avril 2009

"The Path" : Ruby

It's so silent.
Even nature is holding its breath.
Night is a space where the soul can expand.

Ce fut sans doute ma partie la plus courte pour le moment (et je vois mal d'ailleurs comment je pourrais faire plus court à l'avenir).

Après un petit détour par le champ de fleurs où Ruby, la petit goth asociale de 15 ans de la jaquette du jeu, s'est allongée dans l'herbe et a décapité l'épouvantail, je suis tout de suite arrivée à un nouveau lieu. Manque de bol, c'était celui du Loup de Ruby. Un homme dans la vingtaine, blond et avec une tête de psychopathe type. Ruby s'est assise sur le blanc du terrain de jeu avec lui, elle a pris la cigarette qu'il lui tendait et... Oh surprise, couic Ruby.

Si je n'avais pas déjà joué avec Carmen et que la problématique de Ruby s'y prêtait davantage, j'aurais probablement opté immédiatement pour l'option du viol.
Seulement la pièce de la maison de Mère-Grand (ben oui, du coup je n'ai réussi à en débloquer qu'une seule, une fois encore) présentait une imagerie insistante de fumées en tous genres. La scène se terminait sur l'image d'un lit d'enfant écrasé par un machin tournant. Vu la vitesse de la chose, je n'ai guère pu en saisir davantage.

D'où ma conclusion : La mort de Ruby me semble davantage liée à la possibilité d'une existence de marginale (ce que pourrait être aussi l'homme blond). La cigarette, la fumée... Tout ça sonne très "paradis artificiels".
Dans son terrain de jeu, Ruby essaie de taire sa lucidité sur le monde en retombant en enfance par le biais de la drogue. C'est en tout cas ce qui me semble le plus plausible d'après ce que j'ai pu voir.

Bon, avec toute cette histoire, j'ai encore eu un C.

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